uelle autre actualité en Tunisie que les élections présidentielle et législatives ? À quelques
jours d'un scrutin sans surprise, Alternatives citoyennes s'intéresse aux vrais enjeux. Latifa Lakhdar
nous livre tout d'abord un papier très personnel sur des élections vécues comme un moment de douleur et de
souffrance.
Neïla Jrad nous propose un bilan des élections législatives en Tunisie depuis 1956, en mettant l'accent sur
le taux de participation, ce qui l'amène à dégager les grandes tendances qui président au fonctionnement de la
vie politique en Tunisie depuis un demi-siècle, avant de résumer l'état des lieux en 2004.
Nadia Omrane et Meryem Marzouki s'intéressent plus à l'« après ». La première considère la liste Ben
Arous de l'Initiative démocratique/Communistes démocrates, présentée aux Législatives, comme une affaire à suivre.
La seconde nous livre son compte-rendu et ses impressions de la réunion publique organisée à Paris le 16 octobre
par le CRLDHT, rassemblant l'ensemble de l'opposition et les principales associations au cours d'une table-ronde
qui fera l'évènement, et dont on se souviendra.
- « Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur » ...Et pas plus que des
autres l'amour de mon pays,
par Latifa Lakhdar
- Élections législatives, de 1956 à 2004,
par Neïla Jrad
- La liste Ben Arous Initiative démocratique/Communistes démocrates - Une
affaire à suivre,
par Nadia Omrane
- À Paris, l'opposition au grand complet débat et se cherche,
par Meryem Marzouki